Cette journée a commencé comme n’importe quel lundi qui succède à une semaine de « viaducs » ensoleillés. C’est à dire…mal !
On ne vous parle pas des cordes de pluie qui tombent du ciel et qui nous font attaquer cette journée trempée jusqu’au bout des doigts de pieds. De ce rendez-vous chez le pédiatre calé à l’improviste avant d’aller travailler parce que numéro 2 aura décidé de s’époumoner toute la nuit. Ni même de l’heure passée bloquée dans le RER à cause d’une panne de « signalisation » (on sait bien ce que cela signifie, on ne nous la fait pas).
Bref on en a jusqu’au cou ! Et ce n’est que lundi !
Comment survivre à cette semaine qui nous semble déjà si hostile ?
Facile ! Grâce à 100 grammes d’inspiration saupoudrés de 3 poignées de Fuck-it thérapie.
Vous savez cette philosophie de vie qui consiste à mettre au placard ses tracas du quotidien et à glisser un ou deux « fuck » de ci de là pour relâcher la pression.
C’est pour ça qu’aujourd’hui est la journée PARFAITE, réunissant l’ensemble des conditions météorologiques ou non, pour constituer votre « Fuck-it Board ». Votre quoi ?
C’est un « tableau » de vision, autrement dit un panneau sur lequel on collecte tout ce qui nous inspire, qui nous motive, qui nous fait nous sentir bien ou qui nous envoie de bonnes vibes à chaque coup d’œil avec un aspect « fuck it » : des photos d’héroïnes imparfaites qu’on admire, des mantras, des gimmicks comme « Je m’en fous », « C’est pas grave si », en bref des phrases, des photos qui nous invitent à lâcher prise.
L’idée : À force de voir et de lire ces pensées positives qui découlent de notre fuck-it board, notre cerveau finit par les intégrer plus vite et se reprogramme. Magique non ?
On le fait trôner sur son bureau ou à côté de votre lit, à vous de choisir.
Attention, ceci est peut-être le premier lundi du reste de votre nouvelle vie !
(crédit illustration Léna Piroux, extrait de « Celle qui a dit Fuck » aux éditions Solar).